Au mètre, largeur 97cm. BLANC. 80% Kozo longues fibres.
Usage et support : Gravure - Sumi ink - Gyotaku(*) - Tirage photo - Conservation - Aquarelle - Dessin - Impression numérique, luminaire.
Washi également utilisé pour la fabrication des panneaux Shoji traditionnel.
Blanc, une face lisse l'autre face légèrement fibreuse - 2 bords frangés - Fibres fines.
Longueur maximum d'unrouleau: 10 mètres.
Très léger, ce papier présente les propriétés uniques de résistances mécaniques. Il conserve sa couleur et ne craint pas les ultraviolets. Une très belle transparence homogène pour la conception de luminaire ou de paravent (shoji).
Ce papier convient également pour la conservation d'oeuvres d'art (toile,manuscrit), l'art de la calligraphie et la photographie d'art.
Le kozo est la fibre de mûrier - washi désigne le papier japonais.
(*) Gyotaku
Le Gyotaku est une technique japonaise traditionnelle d'impression de poissons qui remonte au milieu du 19ème siècle. Cette technique est utilisée pour créer des images détaillées et réalistes de poissons, en particulier de ceux qui ont été pêchés. Le mot "Gyotaku" signifie littéralement "impression de poisson" en japonais.
Pour réaliser une impression Gyotaku, une feuille de papier japonais appelé "washi" est placée sur le poisson préalablement nettoyé et séché. Ensuite, l'artiste applique de l'encre sur les parties saillantes du poisson, comme les écailles et les nageoires, en utilisant des pinceaux. Une fois que l'encre est appliquée, le papier est pressé doucement sur le poisson et frotté pour transférer l'encre sur le papier, créant ainsi une impression détaillée et précise du poisson.
Traditionnellement, cette technique était utilisée par les pêcheurs pour documenter la taille et la spécificité des poissons qu'ils avaient attrapés. Aujourd'hui, le Gyotaku est considéré comme un art à part entière et est pratiqué par des artistes du monde entier
